Il ressortait d'une étude de l'Institut sur les prises accidentelles d'oiseaux marins que le nombre d'oiseaux capturés ne compromettait pas la survie des espèces les plus menacées par la pêche à la palangre.
On a fait observer que pour certains organes, la sous-utilisation des services de conférence était une pratique établie, session après session, ce qui donnait à entendre qu'il s'agissait d'un problème de planification et non d'un hasard.