Le trajet est, dans un premier temps, désertique, pelé, seuls des arbustes poussent. La voie ferrée serpente sur le relief pour descendre doucement vers la mer.
Ils foulaient du pied un sol sablonneux, mêlé de pierres, qui paraissait dépourvu de toute espèce de végétation. Ce sol, fort inégal, très-raboteux, semblait en de certains endroits criblé de petites fondrières, qui rendaient la marche très-pénible.